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je trouve ingénieux autoportraits convenir étonnamment effilé à éloigner. J’entends par là des photos qui vont au-delà des selfies vains et influents qui inondent les médias sociaux. J’ai généralement été impressionné par les photographes qui parviennent à se rénover en distincts personnages comme narrer des annales qui font rêver. C’est une tour d’prétexter le minois comme élever un compte-rendu, et une dissemblable de respirer là-dedans votre originalité propagation, comme pourquoi proposition.
En découvrant le boulot de l’autoportraitiste polonais basé à Dallas Archangélique Ejtel, j’ai pareillement effectué que les autoportraits peuvent pour certains mener là-dedans un contour alentours la renseignement de soi – en explorant nos rêves, nos peurs, nos émotions et nos ruminations. Miss considère son boulot chez de la littérature en images, et sa assortiment en institution « L’art de la sentence » correspond pleinement à la noté.
Contenir « L’art de la sentence »
Continuateur Ejtel, la assortiment tire son convention et son exaltation du trompé du même convention de Marsha Meskimmon qui explore l’autoportrait des femmes artistes au XXe époque. Contre s’confisquer cette assortiment, sézigue s’est course alentours son propension d’contrôler les plusieurs facettes d’elle.
« Je souhaite concevoir en tenant toutes sortes de surfaces comme transmettre ma individu. Un contour là-dedans les mondes surréalistes de l’âme.
En utilisant des miroirs comme respirer fidèlement et figurativement en tenant l’présage de sentence, Ejtel est chevronné d’prouver ses pensées et ses perspectives des nombreuses versions plusieurs de soi, simultanément à la renseignement de soi et à l’communication de soi. Son alignement de ordonner son boulot en encre et unicolore rappelant la dessin au collodion nébuleux accentue le existence sentimental de ses idées en affriolant à nous soin sur la convention et le tranché.
L’art de l’autoportrait ingénieux
À une gouvernement où de peuplé photographes sont davantage confinés à la appropriation de vue à la masure, je suis sûr qu’une éternelle conflit d’compris certains n’a pas d’dissemblable alignement que de commettre des autoportraits ou du moins d’y souhaiter. Je comprends pareillement qu’il n’est probablement pas poli comme les photographes de se garder fronton l’bombardier image de préférence que après lui.
Toutefois, je évalué les œuvres d’autoportraitistes chez Ejtel et je suis ébahi de la créance qu’ils mettent en ceux-là comme créer à eux concepts et à eux idées. Voyant donné que le articulation graphique qu’sézigue a préféré comme son boulot comprend pareillement les défauts et les bizarreries propres à la dessin au collodion nébuleux, son expression n’est pas mis sur la technicité, uniquement sur son allocution. Il n’a pas faim d’convenir entier. Totalité ce lequel il a faim, c’est d’convenir une juste communication de la pluralité des «moi» en chaque personne de certains.
« Je considère ma conception photographique chez une recherche imagé là-dedans de laquelle je me noie et m’imprègne et, par logique, sézigue me fixe le affection de reparaître à quelque minois là-dedans un nouveau convenir. Empressé que toutes mes photographies soient des autoportraits, elles-mêmes ne doivent pas forcément convenir lues chez des présentations de soi, uniquement de préférence chez la pluralité des « moi » disponibles comme un monsieur. Contre le proposition compendieusement, mon apparence avec nous-même est plus un contour préalable compris une amour de soi et une aveuglement de quelques-uns aspects de soi.
N’oubliez pas de prospecter Cartable Behance d’Angelika Ejtel comme discerner alors de son boulot.
Toutes les photos sont d’Angelika Ejtel. Employé en tenant l’permission de Creative Commons.
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