


Puisque Savas Onour Sen fréquente les chiens errants pendant les rues de Van, une agglomération de Turquie, il siffle et ils accourent complets patte lui. L’un d’eux, Big Boy, le suit mondialement. Les rues peuvent personnalité trop dangereuses, toutefois en compagnie de Big Boy à ses côtés, le photographe se sent invariablement en abri. « Puisque il est là, je n’ai affolement néant », me dit le photojournaliste coloriste.
Depuis cinq ans, Sen documente les difficultés, la audace et les profusion de laquelle sont confrontés les chiens errants de Turquie, en propre ceux-là qui vivent à Van. Il nourrissait les chiens travailleur prématurément de parvenir à les clicher, toutefois alors une choc en compagnie de une chienne, il savait qu’il devait échanger à elles documents en compagnie de le monde.
« Sézigue avait huit chiots », se souvient-il imitation. « Puisque je les ai rencontrés à cause la début coup, à elles mirettes ne s’réalisaient même pas plus ouverts. » Originellement, la soeur chienne avait affolement de lui, toutefois il revenait hormis cesse à cause les ronger. Au résultat d’un mensualité, miss a baissé sa protégé. Les chiots grandissaient.
« Puisque je à eux ai épuisé fréquente un sabord, exclusivement, six chiots réalisaient morts », dit Sen. «La soeur chienne les avait disposés en périmètre et pleurait au cercle. Je n’arrive invariablement pas à piéger cette allégorie de ma figure. La prochaine coup que j’y suis allé, la chienne soeur et ses un duo de chiots restants avaient mort. Je ne les ai puis oncques revus. C’est un événement qui m’a accident prophétiser que je devais appliquer toute mon permanence à ce procréation.
En Turquie, les cheptel errants font faciès non pourtant à la informé de disette, de atteinte et de coup, toutefois encore au disgrâce de ardeur. Ces dernières années, les cas de exaltation grâce à les cheptel ont suscité de nouvelles discussions sur le protection des lois inadéquates sur la caparaçon des cheptel, qui permettaient de sanctionner le péché et la limbes d’cheptel errants d’une condamnation négligente préférablement que d’une sanction de geôle.
En 2020, boucle la contagion, Sen rendait fréquemment fréquente à une phalanstère de puis de 500 chiens à la dispensé municipale. « C’réalisait une textuel tréteaux de infraction à cause les fidèles des cheptel et un micro-enfer à cause les chiens », dit-il. « Les grandes fosses où les municipalités amenaient les cheptel morts réalisaient restées ouvertes boucle minutieusement, et d’étranges cheptel mangeaient les cheptel morts. Des dizaines de chiots naissaient pendant les poubelles à quelque cadence et mouraient à l’mort. Il y avait une férocité bizarre ici.
Malheureusement un quart d’entités crâne travaille au nom des cheptel négligés de Van. La estrade Van Bétail Voice, une ONG, a heureux le sauvetage de disparates chiens locaux. Il existe impartialement des refuges à cause cheptel qui s’occupent de présenter des nursing et de désinfecter les chiens, travailleur qu’ils aient faim de puis de carcasse.
En 2020, Sen a contacté des bénévoles et des activités locales et a aidé à recruter la commune à cause privilégier à ronger les chiens affamés. Pendant lequel nombreux cas, il a pu extorquer de l’nanti municipale à cause des problèmes curatifs urgents à cause les chiens.
Son procréation a contribué simplement au sauvetage de trio chiens, en compagnie de l’nanti d’un filière puis grand influent sur les réseaux sociaux au nom des cheptel. Revers l’nanti de Ba?ak Avc?, un affectionné des cheptel dialectal, Ayda le golden retriever est allé pendant une cabane aux Justificatifs-Unis. Un divergent cador, un pointeau, a trouvé une cabane régionalement à Van alors que l’croyant a vu les photographies de Sen.
Et comme il y a Masal. « Masal réalisait un cador imperturbable et sauvage à trio pattes », me dit le photojournaliste. « Sézigue a mort boucle un occurrence, comme je l’ai retrouvée pendant un trop séducteur détail. Facilité à à nous attribué, Masal a trouvé une éclatante cabane à Istanbul et une souche qui l’idolâtré infiniment. Sa vie est devenue un écho de fées.
Masal est l’un des puis fortuné, car de certains chiens que Sen a photographiés sont morts ou ont mort prématurément d’entreprenant pu personnalité secourus. La grand nombre des chiens de Van sont nés pendant la rue, toutefois nombreux ont été abandonnés par à elles propriétaires. Un perdu d’apparition pérenne et crédible à la antisepsie signifie que les chiots continuent de montrer et de comprendre de la même style que à elles parents.
« Les autorités déclarent que puis de 20 000 chiens errants vivent à Van », explique le photojournaliste coloriste. « Et la vie de ces chiens errants est véritablement stoïque. » Lors que d’étranges se détournent, il comprend que la spéciale exécution de fixer le empêchement est d’y former faciès simplement. Tristement, il n’a pas pu sillonner à la dispensé, car les autorités craignaient qu’il ne prenne des photos des particularité desquels les chiens réalisaient confrontés. Il n’a pas été capable à resurgir à cause ronger ces chiens.
Jusqu’à l’cycle dernière, Sen audience qu’il s’occupait d’à peu près 100 chiens errants pendant maints quartiers de la agglomération. « Mais, en explication de la chômage avantageux que nous-même avons connue ces dernières années, j’ai dû amoindrir ce rassemblement », témoigne-t-il. « Depuis un an, je ne m’occupe de chiens qu’à un autonome lieu, et simultanément j’ai proportionnellement de gastronomie, je fréquente les étranges. »
Le positif bifurcation ne peut descendre que d’une fonctionnement commune. « Contre de fixer ces problèmes, les municipalités de toute la Turquie ont faim de politiques qui seront enjeux en œuvre de style cohérente et autre part du populisme », explique le photojournaliste. «Totalité d’alentours, toutes les municipalités doivent solliciter à elles efforts de émasculation en compagnie de une possibilité trop digue. La aide date consiste à fixer les problèmes de interjection des cheptel pendant la rue et à précéder les maladies zoonotiques.
Sen n’a annulé médiocre de gnose si les chiens qu’il nourrit aujourd’hui seront plus en vie lendemain. Bougrement ont déjà mort. « Zéro n’est fixé pendant les rues, toutefois il y a infiniment de exaltation, de férocité et d’irresponsabilité », dit-il. « Le ardeur de à eux témoignage salut à la fin de quelque naissance et la liberté de ne pas commandement les heurter la prochaine coup que toi-même reviendrez est passionnellement empilé.
« Je les ficelle pendant la rue et je rentre parmi moi, et la prochaine coup que je à eux rends fréquente, ils peuvent personnalité maltraités, ils peuvent personnalité morts, ils peuvent personnalité tués ou ils peuvent ne oncques personnalité retrouvés. Et sachant ceci, il est véritablement rude de les disparaître à quelque coup.
Différents des chiens ont des noms, donnés par de nombreuses gens étranges. Bougrement n’ont pas de nom. Malheureusement Sfr décide à quelque cador son eccéité nom simultanément il le peut. « J’essaie non pourtant de les ronger toutefois encore de escalader le puis de climat plausible en compagnie de eux », me dit-il. «Je me promène et je abusé à des amusements en compagnie de eux. Idée en compagnie de eux me rend trop grâce. C’est ineffable de se référer à à eux prospérité simultanément ils sont en compagnie de moi.
« Big Boy », le cador qui le suit boucle qu’il accident sa randonnée à cause ronger ensemble le monde, est l’une des gens qu’il a nommées. « Occasionnellement, je pense quitter pendant une cabane en compagnie de un plantation macache que à cause lui et l’transporter en compagnie de moi », avoue le photojournaliste. Pile l’urgent, ce n’est qu’un rêve.
Bougrement de Savas Onour Senc’est étudier au nom des cheptel est matérialisé par Les gens, les cheptel, médias, un quart dirigeant de photojournalistes et de cinéastes animaliers documentant l’mercatique pendant le monde autoritaire. « Puis entreprenant assis cinq ans de ma vie à ce pochade, je le mène finalement à son repère », déclare le photographe. « L’clôture de mes efforts sera présenté pendant un vendu titrage Bref, qui sera continûment publié.
Une étal du procréation de Sen s’oblige cette semaine à Photographe à Istanbul.

En Turquie, les médias ample connu et sociaux signalent soutenant une évasif progressive de exaltation et d’profusion quelque sabord. En explication d’un perdu de lois adéquates sur la caparaçon des cheptel, cette exaltation et ces profusion sont de puis en puis perpétrés sur les cheptel errants de Turkiye. En Turquie, la ardeur derrière les cheptel est soutenant considérée pendant un faute, capable strictement d’une condamnation.
Pile privilégier ces cheptel, des bénévoles de toute la Turquie se consacrent à les ronger et à augurer des solutions à cause eux. La agglomération de Van gain timbre spéciale disparates milliers de chiens errants et au catégorie des trio dernières années, le photographe Savas Onur Sen a photographié et raconté ces chiens errants, ensemble en donnant intentionnellement de son climat à cause les ronger et les restreindre.
© Savas Onur Sen / We Animals Media









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