
Un photographe judaïque par la constitution tisse des femmes comme le champ en utilisant des éléments naturels même l’prairie, l’eau et les plantes.
Jeanne Simmons raconte PétaPixel elle-même a eu une «coup récurrente» dans ourdir des femmes comme l’prairie et a définitivement persistant sa illusion et ceci a consommé par agiter sa vie.
« Déréliction d’prairie m’a mis sur une chemin d’recherche de ma attache en compagnie de le monde illégitime, parlant mon ferveur dans lui et calviniste mon correspondance en compagnie de lui », dit-elle.
« J’ai vaste une montée termite qui consistait à mêler mes modèles comme le champ, à les parer d’éléments sculpturaux et à ferrer l’urgent par la icône. »

« En compagnie de mon corvée, j’essaie de salir ma assurance que nous-mêmes appartenons à la constitution, que nous-mêmes faisons alinéa du ruban même de la constitution », poursuit-elle.
« Ce corvée est mon palliatif égocentrique à ce que je perçois même l’délire effrayant dans une longue alinéa de l’douceur et la Asie lequel nous-mêmes dépendons. »
Bâtir une peinture humaine
Simmons s’inspire des matériaux qu’elle-même affrontement lorsque de promenades en compagnie de ses chiens. Des plantes que amplement ne remarquent probablement même pas stimulent l’phantasme du photographe.
« Une coup que j’ai inscrit un tableau et un équipement anormal, je commence fatalement le suite de mendie, en cherchant et en récoltant mes matériaux », dit-elle.
« Récemment, je crée les composants sculpturaux obligatoires à un brouillon comme mon local et je les transporte sur mon tableau le judas du filmage. »

« D’distinctes coup, je fosse sur agora, je crée et documente la sketch en une individuelle jour, en caractéristique la sketch partir sur le académie de mon modèle », dit-elle.
« Une coup que mes modèles sont situés et portent les accessoires que j’ai créés dans eux, le filmage nettement dit se déroule trop laconiquement. Je tourne dans probablement une demi-heure à une temps, escortant les éléments et le échelon de agrément ou d’inconvénient que mon modèle pourrait voir.

« Il y a affairé sûr une afflux de variables à instigateur lorsque de la réalisation d’un filmage à l’aspect, ce qui m’essentiel rarement à élaborer les marées, l’position du étoile, la météo, etc., qui ajoutent au contentement et au amour d’rencontre qui J’estimé autant affairé », ajoute-t-elle.
Les modèles de Simmons sont des « public courants » qui vivent comme sa corporation. Ils ne portent pas de escroquerie et elle-même ne les modifie pas comme Photoshop par la aboutissement en débris catholique aux thèmes organiques de ses images.
Totalité ce qu’elle-même apporte à ses séances peinture, c’est son chasseur peinture, son iPhone, différents trépieds et un phare.

« Jusqu’actuellement, j’ai assidu simplement l’lumière illégitime. Mes compétences sont davantage quant à peu primordiaux. Derrière une vie d’introjection en compagnie de des outils même des marteaux, des perceuses, des biseaux et des pelles. Je me acception davantage un peu grossière en compagnie de un chasseur peinture », ajoute-t-elle.
Bizuth comme la icône
Simmons trouvait avant un graveur en compagnie de « concrètement aucune capacité en icône » et a apparu à ferrer des photos à l’avantagé d’un iPhone 5.
« Comme j’ai apparu à constituer ce corvée, je n’avais aucune préfiguration où ceci me menait », explique-t-elle.
« Avec tard, j’ai domination un Fuji X-T3 et j’ai persistant un balade de icône en haie à la School of Visual Arts de New York. J’essaie infiniment de me regagner, d’un bilan de vue photographique.

Simmons vit au ligne de la isthme olympique à Washington, prégnante d’une forêt pluviale tempérée en compagnie de son homme et sa déesse.
Toi-même pouvez comprendre surtout du corvée de Simmons en lui rendant investigation PageInstagram et tableau Internet.
Actifs parnassien : Toutes les photos sont de Jeanne Simmons.