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Pendant Le Kis de Barbarellas, une écho exposé à Automobile Italia, Londres, l’figurant et prosélyte David Aruquipa Pérez régulière ses archives personnelles et puissantes d’images de Las Chinas Morenas Ofelia, Titina, Juana, Candy, Lucha, Diega et Barbarella. « L’légende de Las Chinas Morenas révèle que les luttes politiques de décharge émanent du nombre », dit Pérez. « Manteau la honneur travailleuse, les indigènes, qui vivent et se battent journellement vers à eux désir. »
Affilié du vague d’activistes LGBTQ boliviens Familia Galán, Pérez s’est impliqué vers la début jour pile Las Chinas Morenas en 2009. Cependant ses années de corvée alentour de la décharge queer, même lui ignorait l’réalité des interprètes – lesquels la cotisation aux devenirs LGBTQ+ des années 1960 et 1970 a été fabuleusement incompris – jusqu’maintenant. De là, il a apparu à plier(se) des recherches sur la ordre, devenant somme toute le chérubin de promesse de à elles images.
« Au période où j’ai apparu mes recherches, la majorité des Las Chinas Morenas vivaient déjà âgés, parmi 70 et 80 ans », explique Pérez. « Ils m’ont enseigné à elles revues et en même vieillesse ils m’ont donné à elles photographies. Abondamment de photographies ont été déchirées ou effacées pile des marqueurs – des visages d’personnes lesquels ils ne voulaient évidemment pas se trace.
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