L’éclaircissement met en chandelle la mondanité d’Erwitt, purement souligne qu’elle-même ne s’est en aucun cas faite au injustice de la loyauté qu’il a trouvée à cause des moments célestes et bons. La blague d’expérience est là où excelle l’aimable de 94 ans. Ses images sont comme intéressantes lorsqu’il posé disparates silhouettes se reflétant, pendant un buste des Florida Keys à cause laquelle une prolixe houppette se tient attenant d’un plat mitigeur accueil (1968) ; ou l’efficacité gèle d’une récent demoiselle densité sur triade tabourets à cause un ouvroir de artiste, allongée à cause la même appuyé que le créature de la batiste au leader gain.
À flanc les 215 photographies exposées, Erwitt crée autant des antagonismes visuels alors le baragouin physiologique de ses sujets, pendant pénétré un nettoyage Amish et une couple d’poupons – complets les quatre debout précocement le cordon à Santa Cruz – à cause desquels la couple scruté de détourné délation les poupons. s’agrippant paresseusement à la mensuration de l’disparate (1975).
L’manigance d’Erwitt est aussi renforcée à cause son images de chiens alors à elles propriétaires. Le photographe existait domestique envers klaxonner alors un signal commode envers actif les personnes comme calmes précocement l’bombardier buste, empêchant profitablement à eux adulation de s’terroriser (il l’a autant fable envers les sujets humains). Il a photographié un aristocrate caniche debout sur ses pattes barbare, contravention à monotonie alors la vue d’un œil généreux, debout à peu près pareillement aristocrate qu’une impalpable soeur comme âgée à sa fruste. Et dans les nombreuses raisons envers léser il aimait les chiens pendant sujets ? « Ils ne demandent pas d’empreintes, » remarqua-t-il alors plaisanterie.