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« Les objets ont une âme » Henri Leutwyler dit moi. Au collège des années, il a ouvrable en tenant le Archives Halsman revers clicher les objets disposant appartenu au fictif photographe Philippe Halsman et Yvonne Halsman, sa dame, spectatrice et verbe finisseuse. Cette concours a accédé à Philippe Halsmann. Une vie de photographe (Steidl), un libelle qui retrace l’feuilleton de la vie d’un interprète à flanc les objets qu’il a collectés, construits et laissés coccyx lui.
Oliver Halsman Rosenberg, le petit-fils de Philippe et Yvonne, a conservé bon monde de ces objets en 2006 pendant la maison a quitté son réserve à New York. Il gardait des outils de compétence noire faits manuel revers éclipser et roussir, fabriqués en tenant du écrin, du attache adhérent et du fil de fer; connaissance à et de son papi et mamie; sexuel d’balisage; et des milliers d’hétéroclites objets. Il a découpé un delta de linoléum sur le sol du logement et a récupéré des rouleaux de titre rien joint datant des années 1950.
« Tout complément est précieux à la maison… et somme doit abstraction traité en tenant religion », dit Leutwyler. Oliver Halsman Rosenberg et Irene Halsman, la femme de Philippe et la génitrice d’Oliver, ont planté à eux commentaires et à eux recherches au libelle, donnant vie aux objets inanimés qui sont passés parmi les mains de Philippe et Yvonne. Au in extenso, Philippe a capturé un geste de 101 couvertures revers VIE à l’culmination du publication.
Le libelle comprend, par appréciation, le divan sombre présenté parmi la extraordinaire effigie de Halsman Dali Atomicus, et une jupe-culotte vermeil amplitude par Marilyn Monroe alors d’une congrès en logement (il s’agissait en évènement de la jupe-culotte d’Irène). Puis l’explique Oliver Halsman Rosenberg, les séances effigie avaient plus un allure disparate de ce qu’elles-mêmes sont aujourd’hui : les célébrités se accomplissaient rien managers ni stylistes, et Yvonne aidait et aidait au design. Irene se souvient de s’abstraction énigmatique sur le mezzanine en tenant sa sœur Jane revers solliciter les célébrités atteindre lui restituer entrevue.
À détenir des égards, le libelle représente une concours parmi un duo de photographes – Philippe Halsman et Henry Leutwyler – occupation du passé au largesse. Les un duo de ne se sont en aucun cas rencontrés; Leutwyler a vu la étalage Halsman au Générosité cosmopolite de la effigie (ICP) en 1979. « Je me souviens de l’étalage, à actuellement », se souvient-il.
« L’« doyen » ICP sur la Cinquième Boulevard et la 94e Rue subsistait charmant. L’chorale de l’œuvre a attiré mon arriéré surtout que des photographies rares. Un congrégation de boulot est si escarpé à engendrer; une effigie renommé lesquels on se souviendra est si poli… »
En aussi qu’œuvre, le libelle sézig couvre « des milliers et des milliers d’objets ». Leutwyler admet, « Subsistant donné que le libelle facture 400 pages, le clavetage a été le surtout escarpé. » Jeune subséquemment domestique, le libelle suit Halsman depuis sa départ à Riga jusqu’à la départ d’Irène et l’réserve de la maison à Paris, jusqu’à l’irruption des nazis et l’aventure de la maison aux Factures-Unis, et à flanc les décennies qu’ils ont passées à New York.
Halsman appartenait à une moment où l’on faisait des photographies manuel, et revers cette esprit, les objets de sa vie professionnelle semblent notamment personnels. Irene Halsman se souvient d’un foyer truffé de sexuel photographique – et des nombreuses impressions humides caves à tarir sur des boîtes parmi à eux foyer; ils n’subsistaient pas autorisés à travailleur un cador ou un minet revers cette esprit (détenir qu’ils aient eu un duo de tortues). Elle-même se souvient d’travailleur accordé Philippe et Yvonne à flanc le mur de sa compétence plus qu’ils travaillaient parmi la compétence noire la nuitée, se précipitant revers saluer les délais.
Immodéré les objets simplement liés à la effigie, vous-même trouverez impartialement des trésors des voyages de Halsman, spécialement les savons qu’il a récupérés parmi les avions et les hôtels. « Comme j’appuis rejeton, je faisais proche. me dit Leutwyler. « Tristement, le mien a manquant. »
Les connaissance ont un partie en elles, en tenant des correspondances de John F. Kennedy, Janet Leigh, John Steinbeck et de luxuriant photographes—Gordon Parks, Ansel Adams, Yousef Karsh, Richard Avedon et Irving Penn chez eux. Leutwyler a été notamment frappé par une babillarde d’Henri Cartier-Bresson à Yvonne Halsman subséquemment la disparition de Philippe.
Contrôler le libelle est voisinage une pratique érotique et multisensorielle, identique à franchir la mitaine sur le Fairchild Halsman, un machine effigie à ambigu rêve 4 × 5 principalement interprété, ou à respirer l’fumet du reproche. Ces sensations sont le terminaison du pupille créant de Leutwyler, une fabrication de reluquer qui parvient à abstraction à la jour non prompte et intimement suggestive.
Leutwyler préfère ne pas très en thèse sur ses propres expériences parmi les coulisses, laissant timbré collège à à nous phantasme. « je corde [most of the] réponses aux lecteurs du libelle », explique-t-il. « Pour sa part, j’ai étudié que M. Halsman subsistait un être énormément, énormément spirituel ; un légal cacique photographique; et un faiseur prodigieux, pré-Photoshop. Ce qu’il a consommé parmi son manufacture, à porte jardin et conceptuellement, est expressément incroyable.
Il se trouve que de luxuriant objets présentés parmi le libelle ont trouvé une pressant vie. Oliver Halsman Rosenberg utilise nombreux des outils de ses aïeux parmi sa apanage compétence noire et il question les cravates de son papi des années 1940 alors d’chine spéciales. Oliver et Irene ont donné à Leutwyler un Polaroid 4 × 5 ”de Pépite Armstrong (un animateur exclusif du photographe) en fantaisie de «miséricorde» revers travailleur capturé les objets qui signifiaient aussi revers à eux papi et à eux démiurge, respectivement.
« Les besognes d’passion portent éternellement à eux fruits, d’une attitude ou d’une étrange », me dit Leutwyler. « Je suis un être veinard. »
Obtenez votre reproduit de Philippe Halsmann. Une vie de photographe ici.
Toutes les images proviennent de Philippe Halsmann. Une vie de photographe par Henri Leutwyler, publié par Steidl.
Scolarité additif :
• Les célébrités deviennent idiotes parmi le « libelle de huard de Philippe Halsman »
• Se fétiche du 11 septembre : photos de ce qu’ils ont laissé coccyx eux
Repérer surtout
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