
« L’fiction de chaque homme est différente », dit Michael Joseph. « Seulement ils recherchent intégraux les mêmes choses – une fugue d’une vie prescrite que la phalanstère a prévue à cause eux. Ils recherchent la intimité. Dans lequel cette amoncellement, trio photographes certains emmènent comme les coulisses de la sous-culture Traveller. Dans lequel le procédure, ils révèlent une phalanstère de personnalités en immigration, navrant des billets universellement où elles-mêmes le peuvent, en malle de marchandises ou en tacot, accomplissant escortant à eux capable chorus de indispositions.
Michel Joseph parcourt le province, fondamental des portraits intimes de personnalités au poitrine de la sous-culture des voyageurs.
« Je n’ai colin-tampon, seulement j’ai intégral en même siècle », a dit un lunette un tsigane au photographe Michel Joseph.
Quant à la majorité d’compris certains, le monde défile comme le coulé, seulement à cause les Voyageurs, le siècle ralentit. « Si vous-même engagez une conciliabule pile un tsigane », dit le photographe, « il s’ouvrira à vous-même. Ils ont du siècle à cause vous-même. Et c’est singulier aujourd’hui, lorsque les monde se cachent fesses des écrans et ne se regardent pas comme les mirettes.
Quant à Nicolas Syracuse, l’extérieur de la boulevard est tyrannique. C’est certain tour qu’il a en connu pile les monde qui composent la sous-culture des voyageurs.

« Je ne suis pas sinistré. Je suis éventuellement sinon aileron, seulement ces trains de marchandises sont ma édifice », a confié un être du nom de Mark au photographe Nicolas Syracusequi enregistre depuis vingt ans les documents de iceux qui, également Mark, ont quitté le bien-être de la vie actuel à cause la intimité du voie de fer.
Mark, qui se surnomme « Shoestring » d’postérieurement le instigateur d’une hymne de Mel McDaniel, excursion depuis des décennies. Il calligraphie son nom sur les trains de marchandises et peut affirmation l’âge d’une caret colin-tampon qu’en avaricieux sa fourreau. Le démarche de vie est comme son ADN : « C’est qui je suis. » Les gens voyageurs, a appliqué Syracuse, choisissent les pistes ; à cause d’singulières, ce n’est pas un alternative. La boulevard les choisit.
Le photographe Matt Mimiaga et les journalistes Lauren Smiley et Amy Standen ont passé du siècle pile les Dirty Kids auto-identifiés de San Francisco, qui à eux ont acte importance à cause sectionner à elles documents.

Les abattis d’une sous-culture traitée les Dirty Kids, qui se déplacent comme intégral le province en malle, vis-à-vis de s’camper tout autour de San Francisco, se sont ouverts à Matt Mimiaga comme le enveloppe de cette fiction comme Californie dimanche.
Les Dirty Kids, ou Crusty Kids, également ils l’identifient récemment, sont un totalisé terriblement uni. Les gens d’compris eux se sont enfuis de parmi eux à un ramadan âge à cause conjurer aux cycles de la manque ou de la maltraitance, seulement d’singulières, également Saydee, ont attitré la vie en compréhension de la intimité qu’elle-même avance. Ils sont régulièrement en muter, se dispersant comme intégral le province et se réunissant une jour de encore comme le Haight.
Michel Joseph continue son excursion et scission les autobiographie qu’il a créés en collège de boulevard.

« Ce qui m’appâte parmi les Voyageurs, c’est à eux prédisposition à remarquer au-delà des standards culturelles », Michel Joseph certains dit. OBJET TROUVÉ, son essai en collège sur les personnalités qui vivent en immigration, explorant les Factures-Unis, se encourage depuis encore d’une décennie. « Ceci a survenu par apercevoir un anonymat au circonstance, après en informer encore sur la sous-culture, à cause évolution intellectuellement absent par la sous-culture, après une registre débordante à défaut le minois », se souvient-il.