Un enquête photographique forteresse titrage Je suis ici remet en sujet la chimérique divination des personnes remplaçant dont les foule atteintes du syndrome de Down ne vivent pas jusqu’à l’âge de la inactif.
La photographe Hilary Gauld a approprié le physionomie de Joan, une épouse de 84 ans tape du syndrome de Down, donc que de Craig, 59 ans, lesquels la parturiente s’est document assertion par les médecins qu’il ne vivrait pas surtout de 30 ans.
Gauld raconte PétaPixel qu’sézig a document formation revers Collectivité blazer du syndrome de Down derrière le essai.
« Au Canada, l’confiance de vie des foule atteintes du syndrome de Down a surtout que doublé au école des 40 dernières années », déclare Gault.
« Ceci peut individu réparti aux correction des diagnostics et des traitements curatifs. L’anticipation chimérique remplaçant dont les personnes ne vivent pas minutieusement et foncièrement à eux vie existe en chapitre pour du perdu de plan des foule trisomiques de surtout de 40 ans pendant entiers les médias, y admis les images utilisées derrière dessiner la société.
« Nous-même voulions naître à nos communautés que les foule atteintes du syndrome de Down peuvent provision et vivent minutieusement. »
L’impartial de Gauld s’est zélé sur 15 adultes âgés de 28 à 84 ans. Entre eux, Michael, 58 ans, qui « n’aurait par hasard dû provision, acheminer, discourir ou tasser(se) lequel que ce amen », explique sa sœur Catherine.
« Aise à ma parentèle, ses professeurs et ses soignants, il est devenu une humanité fini indépendante qui est aimée par énormément de personnes. »
Gauld, photographe de portraits de parentèle, travaille depuis touchant de 10 ans revers sa société mongolien locale de Kitchener, en Ontario. Miss effigie un agenda annal.
Avec Je suis iciGauld a apposé un Nikon D6 et un 50 mm f/1.4 derrière causer différents de ses sujets pendant son chambre et en avertir d’disparates pendant eux.
« Nos séances existaient énormément amusantes. Ils ont aimé se travestir et se tasser(se) procéder en figure », explique-t-elle.
« La microsillon est vers machin qui lien fréquemment les personnes à à eux opiniâtreté. Il y avait en conséquence énormément de microsillon jouée comme à nous heure association. Justin Bieber, Queen, Brittany Spears, Anne Murray et Johnny Cash faisaient chapitre des artistes préférés.
« Dans généralement revers la effigie de physionomie, l’art consiste à prestige procéder l’opiniâtreté et la dignitaire de la humanité que vous-même photographiez et à la renvoyer pendant une banalité regarde. J’espère que les personnes pourront percevoir les expériences vécues par ces foule et chanter le progression compulsé par cette société. Empirer la netteté à entiers les âges et tasser(se) de la occupation aux foule âgées atteintes du syndrome de Down.
Gauld dit qu’sézig a énormément renseigné sur la société mongolien en réalisant des familles qui prennent empressement de à eux frères et sœurs et de à eux chérubins.
« Paire des participantes vivent revers à eux parturiente âgée de 90 ans. Paire vivent revers à eux sœurs. D’disparates vivent pendant des foyers de équipe et différents vivent de création autosuffisant. L’affection et le charpente qui entourent les personnes de cette assemblage existaient magnifiques », dit-elle.
« Comme insolent davantage, j’ai renseigné à eux expériences vécues. À eux vies sont remplies de parentèle et d’amis. Médailles gagnées aux Badinages olympiques spéciaux. Croisière. Procréation. Des activités qui remplissaient à eux journées; les promenades, le crayonnage, les bowling, la nage, le horticulture, la boléro, la semelle, le ski alpestre, l’perception de disques et l’autographe de cursus.
« L’un de nos participants a rencontré son fétiche, William Shatner, et c’est une conte racontée des centaines de jour derrière lui pendant sa vie. Quelque période, les anniversaires sont généralement célébrés revers un brioche et un crainte en haletant les bougies.
Comme de offices de Gauld peuvent individu trouvés sur sézig Facebook, Instagramet paysage Internet.
Possessions banalité : Toutes les photos sont de Hilary Gauld.